Pour moi qui vécus dans les ombres délicieuses et les umières tranquilles du Condroz, il n'est pas de souvenirs plus attendrissants que ceux qui dorment en ma mémoire et que le baiser des Muses réveillent quelquefois.
C'est pourquoi lorsque je revois les tuiles de flamme et les pignons éméraudés de mon village, je crois franchir le parvis d'une cathédrale d'azur où, en guise de prière du matin, je récite les vers les plus suaves des Feuilles d'Automne et des « Voix intérieures », c'est-à-lire ceux où V. Hugo, chanta, avec le plus d'émotion, ses premières allégresses...
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