L’éclatant succès du récit d’Omer Marchal, Au pays de mon père, montre le fort engouement des lecteurs pour les choses de la vieille Ardenne.

Sur sa lancée, l’auteur de Baptiste et le Sanglier nous donne ici, à l’aide de 120 reproductions en couleurs des œuvres du peintre Lucien Maringer, mort voici 10 ans, un portrait brillamment colorié des gens d’Arden-ne.

Orner Marchal ne se lasse jamais de raconter l’Ardenne. La rencontre de sa plume avec le pinceau de Lucien Maringer, qui ne cessa de la peindre durant 50 ans et dont il fut l’ami et le confident, nous donne de la vie des Ardennais des générations 1930-1980 des images qu’il était urgent de fixer pour la postérité. C’est chose faite grâce aux photos de Stanislas Marchai, qui a débusqué jusque dans les greniers, pour nous les présenter ici en tout couleur, les tableaux du peintre, désormais promis à l’immortalité, qui y cachaient leur beauté.

L’ouvrage, fruit d’une longue quête de l’écrivain dans l’œuvre et la vie du peintre, constitue en même temps un excellent portrait biographique de Lucien Maringer, le peintre imagier de l’Ardenne qui refusait absolument d’être appelé naïf.

AVEC 120 REPRODUCTIONS EN COULEURS