“Chaque ville, chaque village a eu sa libération. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant qui connut ces heures, sans pareilles dans une vie, les raconte à sa manière.”
“Le samedi 2 septembre, il n’y avait plus de pain à trouver dans Bruxelles. Les Allemands en retraite avaient emporté tous les stocks et les boulangers avaient joyeusement épuisé leurs réserves, dans la conviction, où tout le monde était, que la victoire arrivait avec des fourgons plein de miches.”
“Des paysans, au bord des champs, saluaient les libérateurs en levant leur fourche et, devant les maisons dont les fenêtres avaient des rideaux à carreaux rouges et blancs, des vieilles femmes regardaient en pleurant passer les soldats.”
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