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Histoire de l'école Saint-Joseph d'Ohain
Paperback / 154 bladzijden / niet gedateerd
taal (talen) : frans
uitgever : A compte d'auteur
afmetingen : 293 (h) x 207 (b) x 11 (dk) mm
gewicht : 450 gram
BESCHIKBAAR
zeer goede staat
19,95 EUR
referentie : 1019128
Alle prijzen zijn BTW inbegrepen
Quand l'école Saint-Joseph de la ruelle Quimbin d'Ohain ouvre ses portes le 1er octobre 1913, l'enseignement fondamental y a déjà une très longue histoire, vieille de plusieurs siècles.

Cette histoire débuta bien avant la Constitution belge du 7 février 1831 qui prévoyait à l'article 17 que « l'enseignement est libre».

Il a pourtant fallu attendre 1842 pour que les communes se voient obligées de faire fonctionner une école et 1914 pour que, enfin, l'obligation scolaire des enfants de 6 à 14 ans soit votée.

Il est très difficile de préciser combien d'enfants, au cours des siècles précédents, ont pu être concernés par la scolarité à Ohain. De nombreuses recherches nous ont toutefois apporté quelques petits éclaircissements :

• Entre le XVe siècle et la fin du XVIle siècle, la population d'Ohain a oscillé entre 500 et 850 habitants.
• Jusqu'à la fin du XVIIIe, siècle elle va augmenter régulièrement pour atteindre environ 1300 habitants.
• Le XVIle siècle mérite bien, à Ohain, son nom de siècle des malheurs.

De nombreuses guerres et les luttes de religion qui se déroulent sur le sol de notre région vont contribuer à son anéantissement. La situation est précaire; l'agriculture et l'industrie manquent de bras. De nombreux vagabonds, mendiants, enfants abandonnés, masse misérable et ignorante, vont être pris en charge par le clergé.

Dans notre village, certains champs sont dits « champs des pauvres ».

Leurs revenus sont distribués par la Table du Saint-Esprit, sorte d'Assistance Publique avant la lettre.

L'abbaye d'Aywiers prend en charge l'aide matérielle des habitants pauvres d'Ohain. Elle leur distribue, tous les ans, six paires de souliers : deux d'hommes, deux de femmes et deux de "patureaux" (enfants).

Mais comme souvent, la misère allait de pair avec l'ignorance, et l'instruction était peu répandue.
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