La Belgique constitue un véritable aimant pour les services secrets étrangers. La présence des institutions européennes et de l’OTAN attire de fait un nombre important d’espions sur notre territoire. Les sommets européens sont mis sur écoute et des dossiers secrets de l’OTAN sont transmis à l’ennemi. Mais ce n’est pas tout.
Des espions étrangers infiltrent entreprises et universités afin de récolter les fruits de leurs recherches technologiques. Des disques durs contenant des informations sensibles sur des entreprises à la pointe en Belgique disparaissent sans laisser de trace. Sous le couvert de la guerre contre le terrorisme, des téléphones portables sont mis sur écoute, des courriels sont interceptés et des transactions bancaires sont analysées.
Des agents d’information des ambassades suivent également de près les activités des communautés de migrants.
Durant la Guerre Froide, les espions interceptés étaient déclarés persona non grata et renvoyés vers leur pays. Mais aujourd’hui, ils ont le champ libre en Belgique. Avec toutes les conséquences que cela engendre.
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