L'ouvrage, que j'ai le privilège et le plaisir de vous présenter ici, n'a pas la prétention d'être un récit littéraire, historique au langage châtié.

Notre auteur étant un pur autodidacte, a réalisé ce livre, qui se trouve être un modeste, mais précieux produit d'un travail passionnel, nous faisant revivre des faits, des événements et des aspects de la vie quotidienne, dans un lieu sis à l'ombre de l'énorme Palais de Justice, un quartier si typiquement bruxellois pendant une époque pas si lointaine, qui a marquée toute une génération.

Notre conteur fait remémorer aux anciens et découvrir aux nouvelles générations - souvent ignorantes du passé des vrais bruxellois - à travers des anecdotes souvent drôles, toujours dans un langage savoureux, une tranche de vie souvent ingrate de nos anciens.

Je souhaite que, comme moi, le lecteur aura un vif plaisir à parcourir ces pages empreintes souvent d'un courant de saine et grivoise gaieté. Ces situations et événements sortis d'un monde où l'on "cause" un langage que l'on n'apprend pas dans les classiques, mais dans la mémoire de nos anciens marolliens, nous captivent et nous font rêver...
Ces récits se signalent par leur spontanéité et leur sincérité; c'est l'essentiel !

Merci Oscar, à toi et à ta fidèle compagne Louise Claessens, sans qui (et aussi sur notre insistance), ces récits seraient restés dans l'oubli des temps.